"Azur & Asmar" a eu du succès au Liban. Une maîtresse d'école exemplaire a demandé à ses élèves d'écrire une suite. C'était une époque où les enfants de Beyrouth risquaient leur vie en allant à l'école, à cause d'une vague de voitures piégées. Ce qu'ils ont écrit était le pardon absolu. La maitresse a voulu me transmettre le texte, pensant ne jamais y arriver et que cela ne pouvait m'intéresser. Là, elle avait tort : j'ai reçu le texte, j'ai été profondément ému, et j'en ai fait un petit film inclassable. Il ne peut venir qu'après un visionnage de "Azur & Asmar"... Michel Ocelot